Par des élèves de Francis Caron

Depuis que j’utilise la Technique Alexander, j’ai un sens plus global de ma coordination qui m’a beaucoup aidé à percevoir la tension qui existait dans mes activités de tous les jours, et ainsi de réussir à la diminuer. Francis Caron est une personne très sensible, généreuse et professionnelle. Toujours à l’écoute , il répond très bien aux besoins des élèves, identifiant chez eux leurs défis, et trouvant les solutions qui leur conviennent. De plus, après chacune des séances, je me sentais plus détendue car Francis possède un sens de l’humour qui met à l’aise ses élèves.

Élizabeth L., professeur d’histoire
adepte du Tango argentin, ikebaniste, et jardinière

Ça fait cinq ans que je suis des cours de Technique Alexander avec Francis. J’ai été attiré à cette technique en raison de différents maux liée à ma posture, entre autres des maux de bas de dos et une épaule bloquée. En tant qu’étudiant de la Technique Alexander, je prends une part active dans le processus de rétablissement. La T.A. adresse la cause des problèmes au lieu des symptômes et donc les changements sont durables. Pour ces raisons, la T.A. pour moi est un investissement à long terme. Francis a une intuition qui ne s’acquiert qu’avec des années de pratique. Il perçoit des subtilités qui me surprennent toujours et il me permet de voir des possibilités au-delà de mes habitudes. Je suis reconnaissant d’avoir rencontré un aussi bon professeur.

Éric G., informaticien

J’ai adoré travailler avec Francis. Il est très patient, attentif et professionnel. Nous avons revisité ensemble les gestes les plus simples du quotidien, comme s’asseoir, se lever, marcher, descendre et monter l’escalier et même prendre une tasse. Toutes des leçons de base essentielles pour prendre conscience de son corps, de ses mouvements et redécouvrir l’effort juste. Aujourd’hui, je repense encore à Francis quand, par exemple, je lave la vaisselle : c’est lui qui m’a fait remarquer que ce n’est pas nécessaire de serrer des dents pour savonner et rincer une assiette. Je peux relâcher ma mâchoire.

Michelle D., traductrice

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